L’Acupuncture, médecine ancestrale et scientifiquement validée, se prête à un accompagnement du patient tout au long de son parcours de soins, et même après. Elle permet de neutraliser les effets secondaires des traitements, assurant ainsi leur meilleure tolérance et donc une plus grande efficacité.
En accompagnement d’une chimiothérapie, l’acupuncture prévient les nausées et vomissements, les troubles du transit, la fatigue, le syndrome main-pied, les neuropathies, la mucite, la perte des sourcils.
Elle soulage les effets secondaires de l’hormonothérapie, tels que les bouffées de chaleurs, les douleurs articulaires, l’irritabilité. En cas de radiothérapie, elle réduit les complications, telles que les radiodermites et la fatigue.
Grâce à son action immunostimulante, l’acupuncture permet de lutter contre les leucopénies et thrombopénies liées à la chimiothérapie, tandis que son action immunomodulatrice et génétique permet de renforcer l’immunité.
En outre, elle agit sur l’axe énergétique pour lutter contre la fatigue ; a un effet antalgique en complémentarité aux traitements médicamenteux de la douleur ; une action thymique en agissant sur le stress, les syndromes anxiodépressifs, les troubles du sommeil.
Lors de la prise en charge chirurgicale, en pré et post-opératoire, l’acupuncture favorise la réduction du stress avant l’intervention, autorise une meilleure tolérance de l’anesthésie, une amélioration de la récupération post-chirurgicale, ainsi qu’une cicatrisation plus rapide.
Le protocole d’acupuncture est défini en fonction du traitement, du stade de la maladie et des besoins spécifiques de chaque patient (symptômes, atteinte profonde ou non d’un organe).
Grâce à tous ses effets, l’acupuncture permet aux patients de conserver une bonne qualité de vie et le maintien de ses multiples activités, notamment professionnelles.